About Ethiopia
English version
L’Ethiopie est l’un des plus vieux pays du monde. On désigne d’ailleurs communément cette zone de l’Afrique « le berceau du monde ». Il s’agit du seul pays du continent à n’avoir jamais été colonisé et donc à avoir préservé son incroyable histoire et sa riche culture depuis des siècles.
Malheureusement, l’Ethiopie est également l’un des pays les plus pauvres du monde. Un pays affecté par la guerre, la sécheresse, la famine et la maladie.
Quelques chiffres marquants…
Il y a vingt-cinq ans, l'Ethiopie a été frappée par la famine. Le pays fait actuellement à nouveau face à une crise alimentaire très difficile due à la sécheresse qu’elle a connue ces dernières années. Il y a environ 1 million de mères et enfants sous-alimentés qui ont besoin de soins spécifiques et d’aide alimentaire d’urgence afin que cette famine ne soit plus un danger pour leur existence.
En 2009, les enfants de moins de 15 ans représentaient 46,1% de la population en Ethiopie pour 16% en Belgique, avec des taux de mortalité infantile respectifs de 8,1% contre 0,4%.
D’après les « Humanitarian Requirements » émis le 30 janvier 2009 par le Gouvernement éthiopien, 13 millions d’éthiopiens ont besoin d’aide en urgence.
L'Ethiopie est l'un des pays les plus secs du monde et l'approvisionnement en eau est extrêmement restreint, particulièrement en zones rurales. Près de 80% de la population n'a pas accès à assez d'eau propre que pour vivre dans des conditions de vie décente.
En matière d'éducation, bien que l'école primaire soit gratuite, seulement 40 % des éthiopiens âgés de 15 ans et plus savent lire et écrire. La cause principale est l'incapacité pour beaucoup de familles à payer le matériel scolaire ou encore les uniformes qui, dès lors, choisissent de faire travailler leurs enfants pour subvenir aux besoins de la famille.
Avec 1,5 million de personnes infectées par le virus du HIV, l'Ethiopie se retrouve parmi les pays les plus touchés par le SIDA. Les adultes qui meurent du SIDA laissent souvent derrière eux des enfants condamnés à errer dans les rues et à survivre par leurs propres moyens, les privant de scolarité et les faisant entrer dans le cercle vicieux de la pauvreté.
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Sadly, Ethiopia is also one of the world’s poorest countries, a country stricken by war, drought, famine and diseases where many children don’t stand a chance.
Some shocking numbers…
Twenty-five years ago, Ethiopia was stricken by famine. The country is currently facing a very difficult food crisis due to the drought which it faced these last years. There are about 1 million mothers and malnourished children who currently require special foods and nutritional assistance in order to prevent them from slipping into life threatening hunger.
In 2009, children under 15 represented 46.1 % of the population in Ethiopia in comparison to 16% in Belgium with a respective infant mortality rate of 8.1% against 0.4%.
According to the Humanitarian Requirements released on January 30, 2009 by the Ethiopian Government, 13 million Ethiopians are in urgent need of aid.
Ethiopia is one of the driest countries on earth and the water supply is extremely poor, especially in rural areas. Nearly 80% of Ethiopia’s population does not have access to enough clean water to support basic living requirements.
In terms of education, even though primary school is free, only 40 % of Ethiopians from the age of 15 and over can read and write. This is mainly due to the inability of many families to afford the school supplies or uniforms and instead, choose to have the benefits of the child working, providing for the family.
In addition, Ethiopia is, with 1.5 million people infected, among the hardest hit by the AIDS epidemic. Parents who die from AIDS often leave children behind with no one to care for them, forcing them to wander the streets, drop out of school and participate in dangerous activities as a means of survival, trapping them in a cycle of poverty.
L’Ethiopie est l’un des plus vieux pays du monde. On désigne d’ailleurs communément cette zone de l’Afrique « le berceau du monde ». Il s’agit du seul pays du continent à n’avoir jamais été colonisé et donc à avoir préservé son incroyable histoire et sa riche culture depuis des siècles.
Malheureusement, l’Ethiopie est également l’un des pays les plus pauvres du monde. Un pays affecté par la guerre, la sécheresse, la famine et la maladie.
Quelques chiffres marquants…
Il y a vingt-cinq ans, l'Ethiopie a été frappée par la famine. Le pays fait actuellement à nouveau face à une crise alimentaire très difficile due à la sécheresse qu’elle a connue ces dernières années. Il y a environ 1 million de mères et enfants sous-alimentés qui ont besoin de soins spécifiques et d’aide alimentaire d’urgence afin que cette famine ne soit plus un danger pour leur existence.
En 2009, les enfants de moins de 15 ans représentaient 46,1% de la population en Ethiopie pour 16% en Belgique, avec des taux de mortalité infantile respectifs de 8,1% contre 0,4%.
D’après les « Humanitarian Requirements » émis le 30 janvier 2009 par le Gouvernement éthiopien, 13 millions d’éthiopiens ont besoin d’aide en urgence.
L'Ethiopie est l'un des pays les plus secs du monde et l'approvisionnement en eau est extrêmement restreint, particulièrement en zones rurales. Près de 80% de la population n'a pas accès à assez d'eau propre que pour vivre dans des conditions de vie décente.
En matière d'éducation, bien que l'école primaire soit gratuite, seulement 40 % des éthiopiens âgés de 15 ans et plus savent lire et écrire. La cause principale est l'incapacité pour beaucoup de familles à payer le matériel scolaire ou encore les uniformes qui, dès lors, choisissent de faire travailler leurs enfants pour subvenir aux besoins de la famille.
Avec 1,5 million de personnes infectées par le virus du HIV, l'Ethiopie se retrouve parmi les pays les plus touchés par le SIDA. Les adultes qui meurent du SIDA laissent souvent derrière eux des enfants condamnés à errer dans les rues et à survivre par leurs propres moyens, les privant de scolarité et les faisant entrer dans le cercle vicieux de la pauvreté.
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English version
Ethiopia is one of the oldest countries of the world. One commonly calls this part of Africa “the cradle of the world”. Unique among African countries, the ancient Ethiopian monarchy maintained its freedom from colonial rule and has therefore preserved its history and rich culture through the centuries.Sadly, Ethiopia is also one of the world’s poorest countries, a country stricken by war, drought, famine and diseases where many children don’t stand a chance.
Some shocking numbers…
Twenty-five years ago, Ethiopia was stricken by famine. The country is currently facing a very difficult food crisis due to the drought which it faced these last years. There are about 1 million mothers and malnourished children who currently require special foods and nutritional assistance in order to prevent them from slipping into life threatening hunger.
In 2009, children under 15 represented 46.1 % of the population in Ethiopia in comparison to 16% in Belgium with a respective infant mortality rate of 8.1% against 0.4%.
According to the Humanitarian Requirements released on January 30, 2009 by the Ethiopian Government, 13 million Ethiopians are in urgent need of aid.
Ethiopia is one of the driest countries on earth and the water supply is extremely poor, especially in rural areas. Nearly 80% of Ethiopia’s population does not have access to enough clean water to support basic living requirements.
In terms of education, even though primary school is free, only 40 % of Ethiopians from the age of 15 and over can read and write. This is mainly due to the inability of many families to afford the school supplies or uniforms and instead, choose to have the benefits of the child working, providing for the family.
In addition, Ethiopia is, with 1.5 million people infected, among the hardest hit by the AIDS epidemic. Parents who die from AIDS often leave children behind with no one to care for them, forcing them to wander the streets, drop out of school and participate in dangerous activities as a means of survival, trapping them in a cycle of poverty.